Comment faire jouir une femme : micro-trottoir

“ Nous avons réalisé un micro-trottoir sur la manière dont ces messieurs doivent s’y prendre pour nous faire jouir”

Micro-trottoir

Cécile, 33 ans, conseillère financière : « Je pense être ce qu’on appelle une femme anorgasmique. J’ai déjà tout essayé en faisant l’amour mais je n’ai jamais connu le grand frisson et ses symptômes. Certes, je ressens du plaisir mais ça s’en tient là. Le point G ? Je le cherche toujours et je me demande même s’il existe vraiment ! Peut-être que je fais un blocage ou que je n’ai pas encore trouvé le bon mec mais je ne désespère pas encore de connaître ce fameux orgasme un de ces quatre. »

Marina, 32 ans, responsable commerciale : « Mon premier orgasme, je l’ai eu à 27ans. Ce qui a été différent des autres hommes c’est que celui-là était très patient et était très à l’écoute de mes désirs. Il a commencé tout en douceur et ça a été pareil tout au long de nos ébats. Il me faisait languir de désir et de supplice en prolongeant les caresses et les baisers. Contrairement à mes habitudes, c’est moi qui l’ai invité à me pénétrer. J’avais l’impression que c’est moi qui dirigeais. Il a commencé par des va et vient lents tout d’abord, alternés de petits coups rapides et profonds. Mais ce sont les coups appuyés lentement de pénétration peu profonde dans le vagin qui ont débuté la montée de mon désir. Me sentant touchée au point vital, il a insisté à cet endroit par de petites pressions de petits coups de va et vient. C’était une sensation géniale qui montait en puissance et qui me donnait presque le vertige. Une chaleur envahit tout mon être, comme un volcan de sensations dont l’épicentre est mon vagin se répand et me secoue un peu. C’était intense et je n’ai que rarement retrouvée cette sensation du premier grand orgasme dans ma vie sexuelle. »

Vivienne, 40 ans, assistante sociale : « Pour me faire jouir, il faut s’appliquer dès les préliminaires. Avec un bon partenaire qui sait s’y faire, je peux obtenir plusieurs orgasmes même dès la phase préliminaire. Bien stimuler manuellement avec mon clitoris ou mon vagin en guise de mise en bouche déclenchera mon premier orgasme. Un bon cunnilingus, qui s’attarde aussi bien sur mon clitoris et une langue fouineuse dans tous les recoins de mon intimité ne me laisse pas indifférente non plus. Les orgasmes les plus forts ont toujours été ceux qui suivent, au cours de la pénétration. La position d’Andromaque où je suis sur mon partenaire, me permet d’aller à mon rythme et de cibler les points sensibles de mon vagin. Cette position est par contre peu efficace si le monsieur a un petit engin. »

A suivre…