Régime végétarien et santé

Le régime végétarien préserve la santé

Régime végétarien et  santé

L’argument majeur qui renforce la nécessité d’adopter un régime végétarien est sûrement d’ordre médical. Face aux principales maladies qui affectent l’homme, le végétarisme se montre comme une approche des plus efficaces. Les risques de contamination provenant de la viande sont par ailleurs combinés avec l’inadéquation de notre organisme à la consommation de ce type d’aliments. Il est pourtant prouvé qu’une alimentation végétarienne apporte autant sinon plus de calories qu’une autre.

La pratique du végétarisme est un moyen sûr de se maintenir en bonne santé

L’organisme de l’homme n’est pas adapté à la consommation de viande

La constitution physique de notre organisme ne nous prédispose pas à manger de la viande. Des études comparatives ont été en effet menées sur les carnivores et les humains, démontrant que notamment au niveau de nos intestins, la consommation de viande peut avoir des effets très néfastes. La longueur de nos intestins fait en effet que le temps de passage des aliments à leur niveau est plus long que pour les espèces carnivores ordinaires. Cette durée prolongée des aliments dans les intestins peut être source de putréfaction pour le cas de la viande, et donc de dégagements de toxine nocifs. Diverses maladies sont causées par ces toxines dont entre autre le cancer du colon et du foie, ainsi que la cirrhose. Les études ont également montré que nos intestins se rapprochent beaucoup plus de ceux des animaux végétariens. Nos ancêtres étaient d’ailleurs végétariens. Le régime sans viande semble ainsi plus adapté à notre organisme, alors pourquoi ne pas devenir végétarienne ?

Les éléments constituant la viande sont sources de plusieurs maladies graves

De par sa constitution, la viande est source de différents disfonctionnement au sein de notre organisme. Le végétarisme est un moyen efficace pour éviter ou lutter contre ces maladies. Aucune partie du corps humain n’est épargnée par l’effet dévastateur de la viande. Cette dernière perturbe en effet le fonctionnement normal des reins. Elle est aussi source de constipation. Mais le plus connu de ses méfaits est les maladies cardio-vasculaires. Ce fléau est la première cause de mortalité aux Etats-Unis. Différents types de cancer sont également la conséquence de la consommation de viande, et ceci est prouvé scientifiquement. Et généralement, c’est la graisse animale qui est remise en cause dans toutes ces maladies. De quoi donner encore plus de poids à la pratique de l’alimentation exclusivement végétale. Il faut savoir en effet que ce type d’aliments a une faible teneur en graisse. L’ironie de l’histoire c’est que ce régime végétarien permet à la fois d’éviter mais aussi de guérir ces maladies. Mais en tout cas, vaut mieux prévenir que guérir.

Le risque de contamination est élevé du fait de la pratique de l’élevage industriel.

Qui n’a pas été hanté par la maladie de la vache folle ? Cette crise a été l’exemple type d’une psychose sur une éventuelle contamination par consommation. Et cela est d’ailleurs prouvé scientifiquement. Le fait de manger de la viande provenant d’un animal malade entraîne la contamination de la maladie. Personne ne peut par ailleurs être sûr que toute la viande provenant d’un animal malade n’est pas commercialisée. Et d’aucun ne peut ignorer que les animaux dans les élevages sont aussi sujets à des traitements d’antibiotiques, de stéroïdes et autres drogues pour assurer une croissance rapide. Et quand on parle de viande, tous les animaux sont concernés puisqu’actuellement, les élevages ne sont plus exclusivement de bétails. Il se fait également des élevages à grande échelle de volailles. Toutes ces craintes par rapport à l’industrie alimentaire de la viande renforce la suspicion sur la qualité des viandes vendues et les maladies qu’elles peuvent engendrer. Et même si les OGM existent, le fait de ne manger que de la nourriture végétale réduit de beaucoup le risque de contamination. Autant alors adopter le régime végétarien pour ne pas avoir à se soucier des maladies quand on est à table.

Par LaBonneCopine, le 22/02/2010

 

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